OÙ VONT LES PRESSES, lorsque leurs graveurs meurent ?
C’est la première chose à laquelle j’ai pensé lorsque
j’ai appris le décès d’Érik Bersou. Il aimait ses bécanes,
notamment une superbe presse typographique « La Latine ». Qui s’en (pré)occupe maintenant ?